Les crèches françaises à la conquête de l’international

Les crèches privées Françaises n’en finissent pas de se développer au-delà de nos frontières !

 

On note aujourd’hui la présence des grands gestionnaires dans un nombre important de pays, et ce malgré l’ouverture plutôt récente du marché aux acteurs privés (moins de 20 ans pour la France). On retrouve par exemple Les Petits Chaperons Rouges en Angleterre et en Allemagne pour l’Europe mais aussi au Canada et aux Etats-Unis puisqu’en 2018, l'entreprise de s'est implantée en Amérique du Nord avec une prise de participation dans Kids and Company, le plus gros réseau de crèches Nord-américain.

 

People & Baby, un autre acteur majeur du secteur fait le pari de s’étendre à l’international puisqu’ils sont présents dans 12 pays et à travers plusieurs continents, l’Europe, l’Asie, l’Amérique du Nord et le Moyen-Orient. Plus en détail, il est possible de les retrouver dans les pays suivants : Chine, Cambodge, Philippines, Singapour, USA, Canada, Qatar, Emirats arabes unis, Luxembourg, Italie, Russie et Belgique.

C’est aujourd’hui le groupe Babilou (déjà présent en Allemagne, au Luxembourg, en Suisse et aux pays Pays-Bas côté européen ainsi qu’en Inde, à Dubaï, à Singapour, à Abu Dhabi et aux Etats-Unis) qui fait l’actualité en s’implantant dans un continent jusqu’alors plutôt délaissé : l’Amérique du Sud.

Après avoir entamé leur développement en Amérique du Sud en s’implantant en Colombie il y a quelques années, c’est aujourd’hui en Argentine qu’ils s’installent sous le nom « Dialogos ». Le groupe célébrait récemment l’ouverture d’une nouvelle crèche à Buenos Aires en la présence des directeurs de Babilou et des responsables locaux.

L’expansion des groupes de crèches français à l’étranger ne semble pas ralentir et les gestionnaires misant sur une présence à l’étranger sont de plus en plus nombreux. Rappelons d'ailleurs que d'autres pays comme l'Allemagne et l'Angleterre font face aux mêmes difficultés que la France, puisque le nombre de places en crèches disponibles est largement inférieur à la demande.

 

Sources :  Traitdunion.

 

 

 

 

 

 

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