La pénurie de professionnels de crèches dans le secteur de la petite enfance
De nombreuses associations et collectifs font état de difficultés rencontrées dans l’accueil des enfants en crèche ou auprès des assistantes maternelles.
Le Syndicat National des Professionnels de la Petite Enfance (SNPPE) dénonce une pénurie de professionnels de crèches. Cela est lié à la fois au départ à la retraite du personnel qualifié qui en a l’âge, mais aussi par un manque flagrant de nouveaux diplômés de la petite enfance. Malgré une quantité de postes à pourvoir importante, le secteur a du mal à recruter, car le nombre d’étudiants n’est pas suffisant. Certains gestionnaires, qu’ils soient du secteur public, privé ou associatif, tirent la sonnette d’alarme et demandent à l’Etat d’augmenter les places en formation.
C’est en effet l’Etat, et plus particulièrement les régions, qui ont la responsabilité des écoles de formation. Et le constat est sans appel, il y a une disponibilité de places insuffisante et non un manque de candidats. En augmentant le nombre d’étudiants en formation, à terme, il y aura une augmentation du nombre de professionnels diplômés.
Cette pénurie, touchant la France entière, ajoutée aux absences de personnel depuis le début de la crise Covid, entraîne la fermeture de sections, la diminution des horaires d’ouverture ou encore le gel des berceaux. On constate également une baisse significative du nombre de places d’accueil chez les assistantes maternelles depuis 2016, qui n’a pas été compensé par la création de places en crèche.
La Fédération Française des Entreprises de Crèches (FFEC) déplore un taux de 40% d’enfants de moins de 3 ans sans solutions d’accueil. Ce chiffre reflète bien les difficultés rencontrées pour placer les plus jeunes soit en établissement d’accueil de jeunes enfants (EAJE), soit en relais d’assistantes maternelles (RAM) ou auprès d’assistantes maternelles.
La demande des divers collectifs et associations est claire : faire du secteur de la petite enfance une priorité pour le Gouvernement !
Source :
Compte Twitter de la FFEC, Le Progrès, Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) – site du gouvernement, Le Journal du Dimanche, L’Assmat (pour le SNPPE)
Le Syndicat National des Professionnels de la Petite Enfance (SNPPE) dénonce une pénurie de professionnels de crèches. Cela est lié à la fois au départ à la retraite du personnel qualifié qui en a l’âge, mais aussi par un manque flagrant de nouveaux diplômés de la petite enfance. Malgré une quantité de postes à pourvoir importante, le secteur a du mal à recruter, car le nombre d’étudiants n’est pas suffisant. Certains gestionnaires, qu’ils soient du secteur public, privé ou associatif, tirent la sonnette d’alarme et demandent à l’Etat d’augmenter les places en formation.
C’est en effet l’Etat, et plus particulièrement les régions, qui ont la responsabilité des écoles de formation. Et le constat est sans appel, il y a une disponibilité de places insuffisante et non un manque de candidats. En augmentant le nombre d’étudiants en formation, à terme, il y aura une augmentation du nombre de professionnels diplômés.
Cette pénurie, touchant la France entière, ajoutée aux absences de personnel depuis le début de la crise Covid, entraîne la fermeture de sections, la diminution des horaires d’ouverture ou encore le gel des berceaux. On constate également une baisse significative du nombre de places d’accueil chez les assistantes maternelles depuis 2016, qui n’a pas été compensé par la création de places en crèche.
La Fédération Française des Entreprises de Crèches (FFEC) déplore un taux de 40% d’enfants de moins de 3 ans sans solutions d’accueil. Ce chiffre reflète bien les difficultés rencontrées pour placer les plus jeunes soit en établissement d’accueil de jeunes enfants (EAJE), soit en relais d’assistantes maternelles (RAM) ou auprès d’assistantes maternelles.
La demande des divers collectifs et associations est claire : faire du secteur de la petite enfance une priorité pour le Gouvernement !
Source :
Compte Twitter de la FFEC, Le Progrès, Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) – site du gouvernement, Le Journal du Dimanche, L’Assmat (pour le SNPPE)
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